Né en 1954, ingénieur des Mines de Saint-Etienne, j'ai été informaticien toute ma vie professionnelle. Après un début en société de services, j'ai travaillé dans l'informatique de Carrefour (Promodès avant sa fusion avec Carrefour) en interne puis comme prestataire IBM jusqu'à ma retraite officielle en 2017. Je vis actuellement en Saône et Loire à côté de Mâcon.
Le raté des vaccins contre le Covid est apparu clairement suite à l’explosion des contaminations de Covid au premier trimestre 2022 en France (CF mon précédent article sur le Covid). Il s’est accompagné depuis le départ d’une propagande massive  dans les principaux médias. Elle avait d’abord pour but de nous inciter, voire nous obliger à se faire vacciner.  On ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agissait aussi de masquer les faits relatés ici. Il fallait éviter que les gens se posent des questions. Notre gouvernement, persuadé que la vaccination était une bonne chose, a mis le paquet pour cela.

Son feu roulant a convaincu pour un temps les gens : le taux de vaccination a atteint le chiffre de près de 80% de la population en France,  dont 90% des adultes. Ajouté à toutes les mesures sociales prises (masque, obligation vaccinale des soignants, pass sanitaire et pass vaccinal), cela n’a pas contenu la pandémie qui ne s’est jamais aussi bien portée. Seul le peu de virulence du variant Omicron a commencé à renverser la tendance.

La vaccination généralisée anti-Covid a été la pièce maîtresse de cette politique. Il est donc justifié, maintenant que la pandémie commence à reculer, de faire un premier bilan objectif de ces actions basé sur le retour d’expérience.

 

Le raté de l’efficacité

Qu’attend-on d’un bon vaccin ?

Habituellement, un vaccin efficace permet d’éviter de tomber malade. Il protège de la maladie et  immunise contre elle sur une longue période. Les maladies concernées sont en général très graves, voire mortelles. On n’a pas ou peu de traitements curatifs. pour elles. Parfois, certains de ces vaccins sont obligatoires : cela choque alors peu de monde, vu la virulence de la maladie qu’ils combattent avec succès.

Il peut y avoir des effets secondaires. Ils sont en principe rares, et de faible gravité. Le risque en cas d’effet secondaire est en général sans aucune commune mesure avec le risque pris si on attrape la maladie.

Quand on examine les vaccins anti-Covid, on est loin de tout cela, malgré tout le bien qu’on en a dit. On allait voir ce qu’on allait voir, et on a vu !

 

Une expérience de vaccin qui a réussi

Un vaccin peut réussir. Un bon exemple est le vaccin contre la fièvre typhoïde (1) pendant la première guerre mondiale. Cette maladie était une plaie des armées. Le taux de mortalité était de 12,5%.  On a compté dans l’armée française environ 150000 cas et 15 000 morts, à 90% dans les 14 premiers mois de la guerre. Après, les décès de la fièvre typhoïde deviennent très rares.

Que s’est-il passé ?

On vaccinera en masse les millions de soldats français à partir de 1915. Le succès sera spectaculaire et rapide, comme le prouve la courbe en début de paragraphe. Pourtant, on crtiquera beaucoup ce vaccin, car il n’était pas toujours très bien toléré. Mais quand on regarde le résultat final, la réussite est indiscutable : la mortalité après vaccination a pratiquement disparu. Le nombre de cas s’est très fortement réduit.

On ne constate rien de tout cela dans le cas du Covid !

 

Une efficacité théorique miraculeuse

Lorsque les vaccins anti-Covid sont sortis fin 2020, on nous annonçait une efficacité presque miraculeuse supérieure à 90%. Les laboratoires rivalisaient entre eux pour annoncer les chiffres les plus hauts. Avec le temps, confronté à la réalité, cela s’est révélé faux.

 

Le manque d’efficacité pour éviter de transmettre la maladie

On nous avait vanté au début la vaccination comme une démarche responsable pour éviter de contaminer les autres. C’est normalement le premier critère de succès d’un vaccin : éviter d’attraper la maladie et donc éviter de la transmettre. Hélas, l’explosion du nombre de cas sur une population vaccinée à  80% a démenti avec éclat cette belle construction intellectuelle. Elle a prouvé que le vaccin n’empêchait pas d’attraper la maladie, ni de contaminer les autres.

Même la propagande officielle a été obligée d’en rabattre sur ce point. Pour sauver la face, on a alors prétendu sans preuve que le vaccin ralentissait les contaminations.

 

Les vaccins anti-Covid aggravent-t-il la pandémie ?

On peut sérieusement se poser cette question. En effet, tous les pays ayant lancé une campagne massive de vaccination ont connu une explosion du nombre de cas. Les pays n’ayant pas lancé ces campagnes et ayant fait au contraire confiance aux traitements précoces n’ont pas connu ce phénomène.  Le schéma suivant (2) issu des données de l’OMS mises en courbe par Our World of Data l’illustre très bien  :

Tout se passe comme si ces vaccins, loin de limiter les contaminations, les facilitent au contraire. Il semble qu’il y ait là des mécanismes d’anticorps facilitant à l’œuvre. Certains l’avaient dit dès janvier 2021 (3).  On a déjà constaté ce type de mécanisme  sur d’autres vaccins comme celui contre la dengue. Le professeur Raoult l’a confirmé récemment pour les vaccins anti-Covid : il a mis en évidence ce type d’anticorps facilitants dans le cas du variant delta, dans les 7 premiers jours qui suivent une injection de vaccin.

 

Le vaccin protège-t-il des formes graves ?

 

Des affirmations contestables

Pour défendre les vaccins anti-Covid, on a prétendu et on continue de prétendre qu’ils protègent des formes graves de la maladie. On l’a tellement répété que  pour beaucoup, c’est une vérité qu’il est hors de question de remettre en cause.  À l’appui de cette assertion, les plus hautes autorités ont affirmé avec force qu’il y avait une proportion énorme de non-vaccinés en réanimation :  plus de 90% pour certains hommes politiques très haut placés.

Malheureusement pour eux, il n’y a pas grand-chose de vrai dans cette affirmation. De partout remontent des chiffres qui la démentent, au fur et mesure du temps qui passe.

 

Statistiques de la DREES

 

En France, dans les données officielles de la DREES[*] du mois d’avril 2022 (4), les vaccinés avec au moins 2 doses (en rouge[**]) sont aujourd’hui largement majoritaires par rapport aux non vaccinés (en bleu).  Ceci concerne toutes les catégories : tests PCR, cas positifs, hospitalisations, entrées en soin critique, décès.

Alors que près de 80% de la population est actuellement entièrement vaccinée avec au moins 2 doses, ces données montrent que le fait d’être non vacciné ou vacciné contre le Covid ne change manifestement pas grand-chose : on a autant de chances dans les 2 cas d’être hospitalisé, d’entrer en soins critiques ou de décéder.

 

[*] La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) est une direction de l’administration centrale des ministères sanitaires et sociaux. Elle a été mise en place en 1998.

[**] Les vaccinés une dose ne sont pas comptés dedans.

 

Réponse : une protection douteuse contre les formes graves

Les points précédents confirmés par des données remontant d’autres pays  invalident la protection supposée contre les formes graves. Il se pourrait même que loin de protéger contre les formes graves, ces vaccins détériorent à la longue l’immunité et aggravent donc la pandémie.  On peut juste noter une certaine protection pour les plus âgés, mais elle est fragile, et ne dure pas : c’est quelques mois tout au plus, et il faut ensuite avoir un rappel. Avec Omicron, la protection est encore plus courte, à peine 2 mois selon certains. En effet, le vaccin est basé sur la souche originelle du virus, pas sur le variant actuel.

 

Le raté de l’innocuité

 

On nous a martelé sur toutes les ondes que les vaccins anti-Covid étaient parfaitement sûrs. Ceci est démenti par les faits. 

Retour d’expérience sur les effets secondaires

Les données du site EudraVigilance responsable de la surveillance des effets secondaires des médicaments dans l’Union européenne prouvent la réalité des effets secondaires suite aux vaccins anti-Covid :

 

Malgré les efforts des médias et des autorités de santé pour cacher ces faits, ils remontent de tous les continents. Les chiffes US ou venant de Grande Bretagne sont tout aussi mauvais. On a tous entendu parler de morts dans la foulée de la vaccination, comme le cas emblématique de Maxime Beltra (6).  On a aussi constaté une explosion des myocardites (5) suite à cette vaccination.

Certes, vu l’ampleur de la campagne de vaccination, on peut se dire qu’il a eu peu de morts.  C’est cependant encore beaucoup trop, surtout face à une maladie qui est sans grand risque pour une grande partie de la population. On ne comprend pas dans ces conditions comment on a pu lancer une vaccination de masse sur une pareille échelle. Autrefois, quand on constatait plus de 150 morts suite à un vaccin, on l’arrêtait aussitôt. Ici, on a continué, alors que le nombre de morts se compte en dizaines de milliers !

 

La toxicité de la protéine Spike

La plupart des vaccins anti-Covid ont pour objet de faire produire au corps des protéines Spike en abondance. Cela déclenche une réaction immunitaire.

Le problème est que cette protéine est hautement toxique. Cela a été montré par de nombreuses études (7) et explique largement les nombreux effets secondaires recensés. Un médecin canadien, le docteur Charles Hoffe (8), a étudié en détail les effets de la protéine Spike. Il affirme que cette protéine se disperse dans la circulation sanguine du corps, suite à l’injection des vaccins anti-Covid, contrairement à ce qui était dit.  Elle endommagerait ainsi de manière irrémédiable des tas de vaisseaux sanguins dans le corps. Cela causerait plein de micro-caillots indétectables au scanner, mais pouvant être mis en évidence via un test de D-Dimer.

Prise en compte de l’ARNm dans l’ADN

La technologie de l’ARNm est nouvelle, et on manque de recul dessus. Un de ses grands risques est que l’ARN messager du vaccin s’intègre à notre ADN ( (3), (7), (9)).  Notre corps produirait alors de manière continue la protéine Spike. Ceci pourrait notamment conduire notamment à une recrudescence de maladies auto-immunes et de problèmes cardiaques. Ce mécanisme est bien connu par la science, via les enzymes de type transcriptases inverses (d’ARN à ADN).

 

Le raté des tests des vaccins

Des essais souvent bâclés à l’autorisation des vaccins

On nous avait vendu la rigueur des tests ayant conduit à l’autorisation des vaccins contre le Covid aux USA à l’automne 2020. Mais la vérité finit toujours par sortir du trou. On apprend ainsi (10) que, selon une enquête parue à l’automne 2021 dans le « British Medical Journal »,  les tests et le suivi ayant conduit à l’autorisation du vaccin de Pfizer n’ont pas été sérieux. L’article parle même de fraude caractérisée.  Rappelons que ce journal fait référence dans le domaine médical en Grande Bretagne.  Le but était d’accélérer au maximum le processus d’approbation pour gagner des parts de marché.

Quand on lit tout cela, il est difficile d’avoir confiance envers Pfizer. Rappelons aussi qu’entre 1995 et 2009, 42 condamnations ont frappé cette entreprise  (10)  aux USA pour corruption, tromperie et danger sanitaire. Les amendes ont atteint un montant de 6,5 milliards de dollars !

 

Des vaccins encore en phase 3

En juillet 2021, Olivier Véran, notre ministre de la santé de l’époque, prétendait faussement (11) que la phase 3 des vaccins était terminée. Même une source pourtant bien connue pour sa partialité, les décodeurs du Monde, a été forcée d’écrire que les essais de phase 3 de ces vaccins étaient encore en cours. C’est en effet la vérité. Pour sauver la face, ils écrivent ensuite que cela ne prouve pas l’inefficacité des vaccins. Cela n’a en effet rien à voir :  c’est un processus normal pour tout nouveau vaccin pour évaluer ses effets induits à long terme. Dans le cas de Moderna, la phase 3 doit se terminer en octobre 2022. Pour Pfizer, cela se terminera mai 2023.

 

 

Le raté de l’interdiction des traitements efficaces

Pas de traitements contre le Covid, vraiment ?

Il est étrange qu’on nous ait fait croire tout au long de la pandémie qu’il n’y avait pas de traitement efficace contre le Covid 19. On nous a répété cet  axiome, on l’a martelé comme une parole d’évangile au point que c’est rentré dans la tête des gens, particulièrement en Occident. Les autorités de santé ont été jusqu’à conseiller aux malades pas trop gravement atteints de rester dans un premier temps chez eux, sans les soigner réellement. « Prenez du doliprane », leur a-t-on dit. Elles ont persécuté les médecins qui s’obstinaient à soigner, notamment grâce à l’azithromycine. Toutes ces consignes paraissent rétrospectivement criminelles. Elles ont causé des milliers de morts inutiles.

On peut s’interroger sur la raison de cette attitude. On remarquera juste que des vaccins contre le Covid n’auraient jamais été autorisés si des traitements efficaces avaient été validés, vu la létalité faible de cette maladie pour la plupart des personnes atteintes.

 

Les traitements les plus connus contre le Covid

L’expérience de terrain (12) contredit l’axiome de l’absence de traitements contre le Covid. Il y en a qui marchent. Les plus connus sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Ces 2 médicaments sont connus depuis des lustres, et sont sans danger, contrairement à certaines alternatives peu efficaces comme par exemple le Remdesivir. Les remontées de terrain sur ces médicaments ont été très positives. Il semble, selon les dires du professeur Raoult, que l’hydroxychloroquine soit surtout efficace en traitement précoce du Covid, en combinaison avec l’azithromycine. De son côté, l’ivermectine est devenue dans certains états ou parties d’états comme en Inde (13) un traitement de référence officiel contre le Covid . Elle a même parfois cassé l’explosion de l’épidémie grâce à la distribution massive de kits d’ivermectine.

 

Des compléments alimentaires utiles en prévention

Il ne faut pas non plus oublier tout ce qui améliore de manière générale notre immunité naturelle en prévention via des compléments alimentaires. Citons notamment les plus importants : la supplémentation par la vitamine D3 et par la vitamine C.  Ces compléments auraient gagné à être très largement généralisés.

 

Comment on a découragé, voire interdit les traitements précoces contre le Covid

On continue à nier l’efficacité des traitements anti-Covid dans les phases précoces de la maladie en en Occident.

Les manœuvres contre l’hydroxychloroquine

Malgré ses excellents résultats remontés de toutes parts, on n’a parfois pas été très sérieux en testant cette molécule. Dans certains essais, on n’a pas respecté la posologie prescrite : utilisation de doses 3 fois supérieures à la normale (essai Recovery). Parfois aussi, on a voulu la tester dans des phases tardives de la maladie alors que son protocole d’emploi précise clairement qu’elle n’est efficace que dans les phases précoces. Il n’est donc pas surprenant dans ces conditions que certains aient conclu à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine, ou pire, à sa toxicité. Ceci a conduit le ministre de la santé, suite à l’enquête frauduleuse du Lancet en juin 2020, à faire arrêter ses tests. Il a même passé un arrêté interdisant sa prescription au motif d’une prétendue dangerosité.  On l’utilise pourtant sans problème depuis des dizaines d’années.

 

Le dénigrement de l’ivermectine

De même, l’ivermectine continue d’être dénigrée alors que le bilan de ses succès enfle de jours en jours. Elle attend toujours sont autorisation en France. À l’inverse, on a autorisé le Remdesivir de Gilead, bien qu’inefficace et dangereux,  en un temps record dans toute l’UE.

 

Conflits d’intérêts

L’enchaînement de ces faits pose question.  On peut notamment remarquer de nombreux conflits d’intérêts chez les détracteurs les plus acharnés de ces traitements.

 

 

Le raté du pass sanitaire, transformé en pass vaccinal

 Pass sanitaire et premières dérives

Notre gouvernement a cru détenir avec les vaccins contre le Covid l’arme ultime contre la pandémie. Il a donc lancé une campagne massive de vaccination en début de 2021.

Pour mieux inciter à la vaccination, il généralise le pass sanitaire  à partir de septembre 2021, contrairement à ses engagements pris au printemps 2021.  Il fallait désormais fournir une preuve de vaccination ou un test PCR pour fréquenter certains lieux. Cela a concerné la plupart des lieux publics : restaurants, hôtels, cinémas, salles de spectacles, hôpitaux, salles de sports, certains centres commerciaux, …  On a fait de même pour les transports longue distance  : TGV , bus grandes lignes.

La dérive a atteint aussi les écoles.  Les adolescents de 12 à 17 ans devaient désormais avoir un pass sanitaire pour pratiquer leur sport à l’école.

Puis, à fin novembre 2021, on a réduit la durée de validité des  test PCR à une journée. On les a rendu payants pour les non vaccinés. Les gens qui ne voulaient pas se faire vacciner et devaient se faire tester par exemple pour travailler dans certains métiers (exemple : employés de certains centres commerciaux) devaient désormais le faire tous les jours.

 

Le scandale de l’obligation vaccinale pour les soignants

Avec le pass sanitaire, on a obligé les soignants et de manière générale, tous les professionnels en contact avec du public (exemple : les chauffeurs de taxis) à se faire vacciner à l’automne 2021. C’était soi-disant pour protéger le public. Beaucoup l’ont fait contraints et forcés : sinon, ils perdaient leur emploi.

Quand on sait que le vaccin ne protège pas des contaminations et n’empêche pas de contaminer, cela parait plus qu’inapproprié. Certains soignants ont voulu à toute force attraper le Covid avec Omicron pour éviter de se refaire vacciner une troisième fois en début 2022. Cela a aussi déclenché une révolte en Guadeloupe et en Martinique où la majorité des soignants a refusé de se faire vacciner. L’état a dû reculer ici.

Il est difficile d’avoir des chiffres précis du nombre de soignants suspendus. Comme par hasard, ces chiffres ne sont pas communiqués. On sait seulement qu’il y en a eu au moins quelques milliers. Sur un milieu hospitalier notoirement en crise et manquant de manière structurelle de personnel, ces mesures ont indéniablement aggravé la crise hospitalière. L’effet, évidemment, a été nul sur la pandémie.

 

L’aggravation apportée par le pass vaccinal

Affolé par l’explosion des contaminations au Covid à la fin 2021, le gouvernement instaure en janvier 2022 le pass vaccinal :  il fallait désormais une preuve de vaccination contre le Covid pour accéder à la plupart des lieux publics et aux principaux transports longue distance (TGV, bus).

Le variant Omicron était pourtant en train de démontrer son peu de nocivité malgré sa contagiosité extrême.

Enfin, cerise sur le gâteau, en février 2022, on réduit la durée de validité de la 2ème dose de vaccin anti-Covid à 4 mois. C’était une perspective de 3 doses de rappel par an ! Un vrai jackpot pour les fabricants de vaccins, un cauchemar prévisible pour l’ensemble de la population.

 

Inefficacité sanitaire de ces mesures

Outre leur injustice profonde et l’atteinte manifeste aux libertés,  ces mesures n’ont eu aucun  effet positif sur le plan sanitaire.

Connaissant l’inefficacité des vaccins en matière de propagation de la maladie, il était évident dès le départ que restreindre les lieux publics et les transports longue distance aux personnes vaccinées ne servirait à rien. On pouvait même prédire le contraire : bien des personnes vaccinées auraient tendance à moins se protéger devant ces mesures. Cela n’a pas raté.

Devant la recrudescence sans précédent de la pandémie associée à son peu de virulence (CF précédent article sur le Covid), on les a suspendues en avril 2022. Il est possible que l’approche des élections présidentielles ait joué un rôle là-dedans. On ne les a cependant pas annulées, un simple décret pourrait les remettre en vigueur !

 

Une pression sociale qui a tourné à l’oppression

Les délires de la propagande

La propagande pro-vaccin a atteint des sommets, et des montagnes de mensonges ont été déversées sur les ondes. J’en ai cité un certain nombre dans cet article. Pour pousser les gens à se faire vacciner, on a agité les peurs comme jamais. On a fait croire aux gens qu’ils étaient devant un phénomène aussi grave que la peste noire. Il n’y avait donc pas d’autre remède que se faire vacciner.  On a répété sans fin sur les ondes le slogan mensonger « vaccinez-vous, protégez-vous et protégez les autres »

Le Président de la république a été responsable de cette campagne menée sous les auspices du Ministère de la santé. Il l’a même renforcée par des propos qu’on peut juger irresponsables en novembre 2020 (14) pour justifier le 2ème confinement : il prédisait 400 000 morts du Covid si on ne faisait rien. Malheureusement pour lui, des pays comme la Suède n’ont jamais confiné.  Ils ont eu moins de morts en proportion que nous (CF précédent article sur le Covid).

 

La discrimination envers les non-vaccinés du Covid

Tout a été fait pour pourrir la vie des non-vaccinés du Covid. On les a traités d’irresponsables, qui refusaient de se protéger et de protéger les autres, histoire de les culpabiliser. Pour leur pourrir un plus la vie alors qu’ils ne voulaient pas se faire vacciner, rappelons qu’on leur a fait payer leurs tests PCR, au contraire des vaccinés. On a aussi réduit la durée de validité de ces tests à une journée (CF chapitre sur le pass sanitaire).

Pire, avec le pass vaccinal, on a leur a retiré des droits aussi fondamentaux que prendre un TGV, ou aller au cinéma ou au restaurant. Citons aussi tous ceux qui ont perdu leur travail du fait de l’obligation vaccinale.

Des médecins de plateau TV ou des autorités médicales ont commencé à accuser les non-vaccinés de propager l’épidémie de Covid. Ces discours rappelaient les atrocités du Moyen-Âge quand on accusait faussement les Juifs de propager la peste noire. À l’époque, cela avait déclenché des pogroms et des massacres de masse.  De nos jours, on a mis au ban de la société les non-vaccinés. Le Président de la république lui-même s’est déshonoré en disant qu’il avait envie d’emmerder les non-vaccinés (15).

On a ainsi créé dans l’indifférence de la majorité des gens et des principaux médias des citoyens de deuxième zone. Une telle politique discriminatoire assimilable à de l’apartheid ne s’était pas vue en France depuis le régime de Vichy. Il n’est pas exagéré de parler d’une société devenant totalitaire à l’égard de ceux qui refusaient ses ukases.

 

La pensée unique à l’œuvre dans les grands médias et les réseaux sociaux

La pensée unique a régné durant toute la crise du Covid. Ainsi, la plupart des grands médias dits « maintstream », tant journaux que TV, se sont distingués par leur partialité dans le domaine du Covid. Ils en ont perdu toute crédibilité, car les faits étaient trop énormes pour être ainsi masqués.

Rares ont été les médias critiques. Ils se sont cependant toujours gardés de trop remettre en cause le bien-fondé de la vaccination, il ne fallait pas exagérer ! Seule la vérité officielle devait être visible.On a le plus souvent réduit au silence les dissidents. Ces pratiques sont tout à fait comparables à celles de la défunte URSS.

On a pu observer aussi une censure inouïe et inusitée sur les réseaux sociaux.  Facebook par exemple a supprimé sans préavis plein de publications qui ne lui plaisaient pas.  On chercherait aussi par exemple vainement sur Google la plupart des articles que je cite en source sur des critères généraux. Je les ai gardés grâce à une veille de 2 ans, sur une information diffusée par de grands lanceurs d’alerte. Via le moteur de recherche, seule surnage la vérité du moment.

On nous explique que cela a été fait pour lutter contre la flambée des Fake News. Le problème est que la plus grande des Fake News était le discours officiel du Covid, notamment sur les vaccins. Il est également très choquant que des société privées américaines s’arrogent le droit de décider à notre place de ce qui est vrai ou pas.

 

Écoutons le professeur Raoult

Présentation du professeur Raoult

Tout au long de la crise du Covid, le professeur Raoult, notre plus célèbre immunologiste, fort de son expérience incomparable à l’IHU de Marseille a diffusé ses analyses. Il a soigné avec succès des milliers de patients du Covid. Malgré la controverse sur l’hydroxychloroquine, il a toujours défendu sa démarche et ce traitement contre vents et marées.  Il a été précurseur sur bien des points adoptés ensuite, comme la généralisation des tests, le séquençage de masse du virus, et la découverte des variants.

Ses vidéos sont toujours intéressantes, pédagogiques, et argumentées. Il les appuie de données chiffrées incontestables. Elles ne sont jamais outrancières. Il est certes très critique et ne mâche pas ses mots. Ceci a déplu tout particulièrement à beaucoup de mandarins, notamment parisiens. Ils l’ont d’autant plus attaqué qu’ils avaient des résultats pitoyables devant le Covid dans la première phase de la pandémie au printemps 2020. A la même époque, lui avait en en proportion environ 3 à 4 fois moins de morts qu’eux. Il l’a fait savoir, ça ne leur a pas plu, mais c’était vrai.

C’est un grand professionnel obsédé par les faits qu’il n’arrête pas de rappeler, quoiqu’il lui en coûte. On a constamment cherché à le faire taire et à lui nuire pendant la crise. Son renommée mondiale, son intégrité rigoureuse, le soutien du public, ainsi que la grande qualité de ses analyses, l’ont cependant toujours protégé. On aurait bien gagné à mieux l’écouter vu son immense compétence.

 

La vidéo dénommée  « complotiste ? »

Dans la vidéo ci-dessus, datée du 29 mars 2022, il fait un bilan sans concessions sur certaines mesures contre le Covid et sur les vaccins anti-Covid. Il s’élève aussi contre certaines « vérités » officielles, d’où le titre de la vidéo.

Il rappelle les nombreux conflits d’intérêts en France (début de la vidéo).  Puis, il revient sur les mesures contre le Covid (17’13). Il reste favorable au lavage des mains (17’30) et explique pourquoi : les gens n’arrêtent pas de se contaminer les mains en touchant leur nez, puis ils contaminent avec leurs mains. De plus, la durée de vie du virus à l’air libre est plus longue qu’avec la grippe, et les gens toussent  beaucoup moins si  Covid.  Ceci explique le peu d’efficacité des masques qu’il démontre, études américaines à l’appui (18’27).

Sur les vaccins anti-Covid, il relève le manque de contrôle de la pandémie avec les vaccins (21′) et l’explosion des cas constatés dans les deux semaines après la vaccination (21’25). Il contredit aussi l’efficacité sur les cas graves en examinant la proportion vaccinés / non vaccinés (23’48).

Dans les conclusions, il reconnait qu’il est raisonnable de vacciner les plus fragiles, car il peut y avoir un certain bénéfice, à confirmer toutefois, précise-t-il. Par contre, il remet en cause pour la population générale le besoin de la vacciner (25’30). Il ajoute que dans toute son expérience (25’51), il n’a jamais vu un vaccin comme cela qui ne prévient pas les maladies et qu’il faut refaire tous les 3 mois. Ses mots sont sans appel !

 

 Conclusion :  un raté complet

 

La politique vaccinale contre le Covid a été un raté complet. En plus d’être totalement inefficace, elle a manifestement aggravé l’épidémie et a coûté très cher aux finances publiques. Par contre, cela a rapporté gros à certains grands laboratoires.  On a parfois eu l’impression que notre politique de santé avait pour première priorité la sauvegarde des profits gargantuesques de ces laboratoires et non l’intérêt du public.

On peut craindre pour le futur une défiance généralisée contre la vaccination. Ce serait un comble, car il y a eu des cas dans le passé où cela a très bien marché. Mais ce n’est pas une raison pour accepter n’importe quoi, et faire ou dire n’importe quoi.

On entend fréquemment des journalistes traiter des gens d’anti-vax parce qu’ils sont contre les vaccins anti-Covid. Cette position est le plus souvent d’une bêtise insigne : plutôt que de réfléchir, on préfère taper sur les autres qui ne pensent pas comme vous. On les enferme ainsi dans des petites cases bien commodes. En réponse, soulignons qu’on peut parfaitement être favorable aux vaccins qui réussissent, et pas à ceux qui ratent. En l’occurrence, seuls les résultats doivent nous guider.  Ici, vu la toxicité avérée de ces vaccins, la question de l’arrêt de la campagne massive de vaccination et de leur interdiction pure et simple se pose dorénavant.

Le tissu de mensonges complaisamment déversé sur les vaccins anti-Covid a fait perdre toute crédibilité à leurs auteurs et à ceux qui les ont répétés sans réfléchir.

Le président Macron a été certes été réélu vu la guerre d’Ukraine, la faiblesse de ses concurrents, et la personne qu’il a eue contre lui au 2ème tour de l’élection présidentielle. Il serait cependant surprenant qu’il échappe éternellement aux conséquences de ses actions en matière de Covid. Toute cette histoire sent bien mauvais. Il serait bon que la justice se penche là-dessus !

 

Michel Renouleau – finalisé le 17 mai 2022

 

 

 

Ressources

Efficacité des vaccins

Effets secondaires des vaccins anti-Covid

Tests des vaccins anti-Covid

Traitements contre le Covid

Déclarations d’Emmanuel Macron